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Cabourg, rue principale. Calvados.

Calembours à Cabourg, rien que pour le faire...
Firmament de pacotille sous l'heure bleue d'hiver, cette rue principale se remonte lentement à la queue-leu-leu, pare-choc contre pare-choc, à le vitesse d'un labour.
Impossible d'être à la bourre, ou bien la prendre à rebours. Seuls les trottoirs et les devantures richement achalandées facilitent le débours à Cabourg.
Le froid cinglant et piquant comme des baguettes de tambour, tel celui des allemandes Hambourg, Cobourg et Brandebourg, est bien loin de la météo de Ciboure.
Je n'y ai pas rencontré l'un des membres du Labour français, Arnaud Montebourg.
Il ne me reste plus qu'à aller dans les faubourgs à Bourg-la-Reine à déguster de brulants topinambours, qui rembourrent à souhait les poignées d'abour (j'ai le dez bouché).
En espérant ne pas avoir été trop lourd...